est un mouvement, apparu dans les annĂ©es 2000, au croisement entre la rĂ©volution numĂ©rique et la transition verte (innovation Ă©cologique). Aussi appelĂ© La Cleantech, la greentech est un Ă©cosystème de grandes entreprises et de start-up, qui permettent crĂ©er et perfectionner des solutions pour le monde de demain.Â
Tour d’horizon des enjeux d’un marché économique qui contribue au quotidien à changer le monde.
La green tech est un mouvement initiĂ© par des entreprises technologiques de plusieurs pays (États-Unis, Allemagne, France, etc.) tel que Clean Edge ou Cleantech Group, afin de mettre les enjeux Ă©cologiques au centre des innovations technologiques.Â
On retrouve donc dans le domaine de la Green Tech de nombreux acteurs ayant pris conscience de l’impact négatif de l’Homme sur la planète et cherchant à proposer des produits, des services ou des industries plus respectueuses de l’environnement.
La Green Tech est un domaine relativement peu connu en France : 64% des français n’avaient jamais entendu parler des technologies vertes, après le sondage de Oxoda effectué en octobre 2018.
La GreenTech est un moyen de réunir les acteurs qui construisent les technologies de demain tout en réapprenant à consommer et vivre en plaçant l’écologie au cœur de leur décision.
Les entreprises ayant décidé de répondre à ces différentes problématiques regroupent en majorité des start-up et de PME, soit 190 start-up et de PME innovantes.
En 2016, le secteur de la GreenTech est officiellement reconnu, suite Ă la mise en place d’un label « Green Tech Verte » par le ministre de la transition Ă©cologique solidaire. Celui-ci vise Ă distinguer les projets des start-up ou PME qui rĂ©pondent mieux aux diffĂ©rentes problĂ©matiques.Â
Ce label permet aux entreprises de bĂ©nĂ©ficier d’un accompagnement par le ministère de la Transition Ă©cologique et solidaire. Parmi ces entreprises en route vers la transition Ă©cologique, 40 % ont dĂ©jĂ dĂ©posĂ© un brevet. Un signal positif qui dĂ©montre le dynamisme d’un secteur en plein essor.         Â
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NĂ©anmoins la green tech n’a pas pour vocation de reprĂ©senter l’ensemble des Ă©cosystèmes du secteur environnemental, il permet d’identifier les tendances.Â
« Les start-up qui abordent l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique ou les Ă©nergies renouvelables restent très prĂ©sentes, mais, depuis quelques annĂ©es, nous assistons Ă un frĂ©missement au niveau des projets de prĂ©vention des risques naturels et industriels. Les plateformes d’Ă©conomie circulaire continuent aussi de se multiplier » d’après Matthieu HumbersotÂ
Plast’if compte bientĂ´t faire partie de la Green Tech et acquĂ©rir le label « Green Tech Verte » dans les mois qui suivent. Partageant les mĂŞmes convictions et motivations, le projet innovant de plast’if pourrait bien trouver sa place au sein de la Green Tech Verte, très bientĂ´t.Â
« Nous souhaitons participer au changement du monde de demain et contribuer Ă la construction d’une sociĂ©tĂ© plus durable. » Cassandra Delage, fondatrice de plast’if    Â
Le secteur de la « Green Tech », équivaut à un salarié embauché tous les six mois. Les start-up comptent en moyenne sept salariés.
Sources d’opportunités écologiques et économiques, les entreprises du secteur ont levé pour 70 millions d’euros de fonds en 2018. Et ce n’est qu’un début… En 2020 on estime que 25 000 emplois ont été créés dans l’univers prometteur de la « Green Tech ». Qui ne devrait donc pas s’arrêter de pousser de sitôt.
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Source : ministère de la Transition écologique et solidaire.